Depuis 1992, j'ai été amené à suivre les développements du projet du Lyon-Turin. Dans le cadre de mon travail d'assistant parlementaire, j'ai pu avoir une approche non seulement locale mais aussi européenne de ce dossier en étant directement en contact avec des sources d'information et des acteurs publics et privés tant français qu'européens.
Ensuite, j'ai continué à suivre ce dossier. J'ai été le premier à révéler, à partir des informations collectés par les services fédéraux hélvétiques pour l'ensemble de l'arc alpin, que les chiffres prévisionnels de trafic routier avancés par les partisans du projet étaient plus qu'exagérés et parfois faussement présentés pour influencer des décideurs politiques et l'opinion publique locale.
Vous trouverez ci-dessous quelques uns des articles que j'ai écrit sur ce sujet, dont un en 1996, sous le pseudonyme assez transparent de Marcel Voglans qui m'avait alors été proposé par le rédacteur en chef de La Vie Nouvelle, le regretté Philippe REVIL.
Le premier texte présenté, dans l'ordre du déroulé, est celui que j'ai remis, le 16 février 2012, en mairie de Voglans à monsieur KESTENBAND, Commissaire-enquêteur pour le projet du Lyon-Turin et que La Voix des Allobroges avait publié dès le lendemain.